L’apprentissage est une voie d’accès privilégiée vers l’emploi, y compris pour les personnes en situation de handicap. À L’atelier des Chefs, nous croyons fermement que chacun mérite sa chance, et que la diversité des parcours est une vraie richesse pour les entreprises.
Dans cet article, nous faisons le point sur les aides et accompagnements disponibles pour faciliter l’embauche d’un apprenti reconnu travailleur handicapé. Aides financières, appuis techniques, démarches simplifiées : découvrez les leviers à votre disposition pour accueillir un talent en apprentissage dans les meilleures conditions.
Quand une entreprise embauche un apprenti en situation de handicap, elle peut recevoir plusieurs aides pour l’accompagner au mieux. Ces aides ont pour but de faciliter l’accueil, l’intégration et la formation de l’apprenti. Chez L’atelier des Chefs, on croit que ces coups de pouce peuvent vraiment faire la différence, surtout pour créer un environnement de travail inclusif.
Les aides de l’Agefiph (entreprises privées)
L’Agefiph propose une aide pouvant aller jusqu’à 3 000 € pour les entreprises privées qui recrutent un apprenti reconnu travailleur handicapé (RQTH).Le contrat doit durer au moins 6 mois, avec 24 heures de travail par semaine minimum. La demande est simple et se fait en ligne, une fois le contrat signé.
L’Agefiph propose une aide pouvant aller jusqu’à 3 000 € pour les entreprises privées qui recrutent un apprenti reconnu travailleur handicapé (RQTH).Le contrat doit durer au moins 6 mois, avec 24 heures de travail par semaine minimum. La demande est simple et se fait en ligne, une fois le contrat signé.
Les aides du FIPHFP (secteur public)
Pour les employeurs publics (comme les mairies, hôpitaux, écoles…), c’est le FIPHFP qui s’occupe des aides. Ils peuvent prendre en charge jusqu’à 80 % du salaire et de la formation de l’apprenti, avec un maximum de 10 000 € par an. Un bonus est aussi prévu si l’apprenti est embauché sur le long terme après son contrat.
Pour les employeurs publics (comme les mairies, hôpitaux, écoles…), c’est le FIPHFP qui s’occupe des aides. Ils peuvent prendre en charge jusqu’à 80 % du salaire et de la formation de l’apprenti, avec un maximum de 10 000 € par an. Un bonus est aussi prévu si l’apprenti est embauché sur le long terme après son contrat.
L’aide de l’État (toutes entreprises)
En plus, l’État propose une aide de 6 000 € pour toute entreprise qui embauche un apprenti, y compris s’il est en situation de handicap. Cette aide s’applique dès la première année du contrat et peut se cumuler avec les autres. C’est une vraie opportunité pour les entreprises d’accueillir un jeune en apprentissage avec un bon accompagnement.
En plus, l’État propose une aide de 6 000 € pour toute entreprise qui embauche un apprenti, y compris s’il est en situation de handicap. Cette aide s’applique dès la première année du contrat et peut se cumuler avec les autres. C’est une vraie opportunité pour les entreprises d’accueillir un jeune en apprentissage avec un bon accompagnement.
Recruter un apprenti en situation de handicap, c’est faire le choix d’une entreprise plus inclusive et plus riche humainement. Chez L'atelier des Chefs, nous croyons que la diversité stimule l’innovation, renforce la cohésion d’équipe et donne du sens au travail quotidien.
C’est aussi un acte concret en faveur de l’égalité des chances. Un apprenti accompagné est souvent très motivé, engagé dans sa formation et déterminé à réussir son parcours professionnel.
Ce type de recrutement bénéficie d’un cadre structuré : OETH, aides financières, accompagnement personnalisé. Le contrat peut aller jusqu’à 4 ans, avec une rémunération majorée et un maître d’apprentissage désigné. Tout est mis en place pour favoriser une intégration réussie.
Dès l’arrivée de l’apprenti, l’entreprise peut être accompagnée avec du coaching, du tutorat ou des actions de sensibilisation de l’équipe. Des aides financières sont disponibles pour organiser ces premières étapes et s’assurer que tout le monde se sente bien, à sa place.
Si l’apprenti a besoin d’un aménagement spécifique (matériel, organisation, horaires…), des solutions existent. Ça peut aller de l’achat d’un équipement à une aide humaine ou une adaptation des tâches. Le but : que chacun puisse travailler dans de bonnes conditions.
Des formations personnalisées peuvent aussi être financées pour aider l’apprenti à progresser et à sécuriser son parcours. C’est une manière de lui donner toutes les chances d’aller au bout de son projet, avec un vrai soutien tout au long de sa formation.
Pour accéder aux différentes aides à l’embauche, il faut d’abord que l’apprenti soit reconnu travailleur handicapé (RQTH). Cette reconnaissance se demande auprès de la MDPH (Maison Départementale des Personnes Handicapées) et reste totalement confidentielle. Elle permet simplement de mettre en place les bons soutiens au bon moment.
Une fois le contrat signé, l’employeur peut faire ses demandes d’aides en ligne, directement sur les sites dédiés (Agefiph, FIPHFP ou via le portail du ministère du Travail pour l’aide de l’État). L’idéal est d’anticiper ces démarches dès le début du contrat, pour ne rien rater.
En préparant les bons documents à l’avance (contrat, RQTH, RIB…), et avec un peu d’accompagnement, tout se passe simplement. Chez L’atelier des Chefs, on encourage les entreprises à se faire accompagner si besoin, par un conseiller Cap emploi ou Pôle emploi, pour que chaque étape se fasse sans stress.
Le coût d'un alternant pour un employeur est largement réduit grâce aux aides de l'État. Il comprend principalement le salaire (calculé en pourcentage du SMIC selon l'âge et le niveau d'études), diminué des aides financières pouvant aller jusqu'à 6 000 € la première année. Les charges patronales bénéficient d'exonérations importantes, et la formation est prise en charge par l'OPCO. Au final, le coût réel est très avantageux par rapport à un contrat classique.
Les entreprises qui recrutent un alternant peuvent bénéficier de plusieurs dispositifs d'aide :
Ces dispositifs sont cumulables et permettent de réduire significativement le coût d'embauche d'un alternant.
L'embauche d'un alternant présente quatre avantages majeurs pour l'employeur :
Pour bénéficier de l'aide exceptionnelle aux employeurs, l'employeur doit d'abord transmettre le contrat d'apprentissage à son OPCO dans les 6 mois suivant sa signature. L'aide est ensuite versée automatiquement par l'ASP aux entreprises de moins de 250 salariés sans condition. Les plus grandes entreprises doivent respecter un quota d'alternants. Pour suivre le versement de l'aide, l'employeur doit transmettre mensuellement sa déclaration sociale nominative et attester de la présence de l'apprenti via la plateforme Sylaé.
Pour calculer précisément le montant des aides et le reste à charge pour votre entreprise, plusieurs outils sont à votre disposition :
Ces outils prennent en compte l'ensemble des dispositifs : l'aide de 6 000 €, les exonérations de charges et les éventuelles aides complémentaires selon votre situation.
Recruter un apprenti en situation de handicap, ce n'est pas plus compliqué, c'est juste mieux accompagné. Le guide apprentissage édité par le ministère du Travail détaille toutes les solutions disponibles, de l'aménagement du temps de formation jusqu'à l'obtention de la certification professionnelle. La mise en œuvre des différentes aides vise avant tout le maintien dans l'emploi des apprentis, avec des dispositifs adaptés à chaque situation. Entre les aides financières, les soutiens à l'intégration et les aménagements possibles, tout est mis en place pour que l'employeur comme l'apprenti puissent avancer sereinement.
Chez L'atelier des Chefs, on est convaincus qu'un cadre bienveillant et adapté permet à chacun de révéler son potentiel. Miser sur l'inclusion, c'est faire un choix humain, utile et gagnant pour l'équipe comme pour l'avenir.